Faudra-t-il faire doubler aussi les aides de la caisse d’allocations familiales ?
De plus, que devient une famille dans laquelle chacun vit à un rythme différent ? Cela risque de déstabiliser un peu plus les familles avec le cortège de difficultés sociales qui en résultent. Or, de nombreuses études le montrent, trop de parents et d’enfants ne passent pas assez de temps ensemble.
La troisième raison est que le repos du dimanche est propice au sport, au jeu et à la vie en société.
Sans la présence des parents, beaucoup d’activités du dimanche – compétitions sportives, mouvements de jeunes, activités culturelles diverses – seront difficiles à organiser et de nombreux enfants en seront exclus. Ce serait un beau progrès !
La quatrième raison est que le travail du dimanche est un leurre économique.
Un gâteau partagé en sept n’est pas plus gros qu’un gâteau partagé en six.