Le chrétien se fait le promoteur de ce qui ne sert à rien, de ce que l’on croît à tort inutile. Il montre les limites d’un monde où tout s’échange, s’achète et se vend. Il rappelle que nous ne devons pas dépendre du caprice et du désir. Il souligne le sens du gratuit et la culture du don.
Certains objecteront qu’en permettant la messe du samedi soir, l’Église a ouvert une brèche, puisque le jour liturgique va en principe de minuit à minuit.