En référer comme vous le faites, madame David, à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, c’est considérer que les 7 ou 8 millions de personnes qui travaillent aujourd'hui le dimanche dans des stations thermales ou touristiques sont victimes d’un ostracisme, ce que je conteste.
Par ailleurs, je formulerai sept brèves remarques.
Premièrement, la loi n’implique aucune obligation pour le salarié d’accepter la modification de son contrat de travail.