Dans son objet, cet amendement précise que le repos compensateur serait accordé consécutivement à l'allongement du trajet du fait de l'accompagnement de l'enfant avant d'aller au travail, par exemple pour l'emmener à un centre spécialisé, à l'hôpital ou à l'école.
Toutefois, le dispositif ne mentionne aucunement ces raisons. Dès lors, la commission a estimé que, en dépit d'intentions louables, celui-ci était trop imprécis pour être pleinement fonctionnel.
Par conséquent, elle a émis un avis défavorable sur cet amendement.