Je suis navrée, ma chère collègue, mais j’avoue peiner à comprendre l’objet de votre demande.
Rien n’interdit à un étranger de se former au français ; il n’est nullement besoin de reconnaître un droit là où une faculté existe, me semble-t-il. L’information sur les offres de formation est de plus d’ores et déjà surabondante.
L’avis de la commission est donc défavorable.