Je vais faire court, mon collègue Savoldelli a dit beaucoup de choses.
Nous avons une divergence d'approche avec le rapporteur général : nous pensons, nous, que le facultatif et l'incitatif ne suffisent pas pour atteindre nos objectifs.
Aujourd'hui, la part modale du vélo dans les déplacements domicile-travail est de 4 % ; nous devons atteindre 12 % d'ici sept ans. Si la croissance actuelle de la part du vélo est intéressante – le ministre en a fait état –, je suis navré de dire que seule une obligation nous permettrait d'aller plus vite et d'atteindre le rythme de progression que la France s'est fixé à elle-même.