Mes chers collègues, ma prise de parole s’inscrit à la suite de la série d’amendements relatifs au logement.
Je trouve que notre débat sur cette question n’a pas été à la hauteur de l’enjeu national qu’il représente ; je m’inclus dans ce constat, puisque je n’ai moi-même pas pris la parole, et il n’y a pas d’autre façon d’être plus mauvais !