Madame la ministre, vous nous parlez de confiance. Selon vous, la DSIL doit être gérée par les préfets de région, parce qu’elle serait à leur maille.
La réalité est tout autre : cela ne se passe pas du tout comme cela. Dans les faits, les préfets de région demandent aux préfets de département de leur donner la liste des projets candidats et les arguments pour ou contre. Ils leur demandent ensuite quels dossiers ils doivent choisir.