Je veux remercier l'ensemble de mes collègues, qu'ils aient ou non apporté leur soutien à cette proposition de loi. Le débat a été de qualité.
J'entends bien qu'il faille être vigilant sur ce type de texte, tant le sujet de la séparation est sensible. Je tiens tout de même à préciser que je n'ai pris l'attache d'aucune association de pères, parce que je voulais justement travailler en toute objectivité. J'ai eu la chance d'avoir à mes côtés Me Barbara Régent ou la sociologue Christine Castelain Meunier, qui m'ont beaucoup apporté pour la rédaction initiale. J'ai enfin pu compter sur l'aide de Marie Mercie, qui m'a orientée sur une nouvelle rédaction.
C'est un petit pas que nous faisons aujourd'hui, mais c'est un pas important. Je ne veux pas croire que tous nos fils soient des assassins ou des gens violents.