Je me suis rattrapée quand j’ai entendu Corinne Imbert dire à peu près la même chose. Ces amendements relèvent du bon sens. Deux ans après le démarrage de la réforme, nous voyons bien que celle-ci ne suscite aucun engouement. Or si personne n’y adhère, c’est bien qu’il y a des freins, que ce soit sur les périmètres d’intervention, sur les statuts des différents organismes – association ou établissement public.
En tout cas, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’une réforme que les parties prenantes embrassent avec spontanéité – c’est peu dire. En d’autres termes, il y a peu d’envie pour se fondre dans cette proposition.
Je ne sais qui est à l’origine de cette disposition, mais devant l’absence d’adhésion, peut-être faut-il se rendre à l’évidence et reconnaître que la fusion est possible pour ceux qui le souhaitent, les autres pouvant la refuser…