Naïvement, je pensais que nous allions avoir un débat riche, intense, et surtout fructueux. Mais de débat, il n’y a point, faute de débatteurs ! La responsabilité en revient à la droite de cet hémicycle, qui brille d’abord par son absence et, pour les rares présents, par son mutisme. La majorité est devenue physiquement minoritaire : d’où la multiplication des scrutins publics et le retard que prennent les débats.
Mais peut-être la majorité sénatoriale s’entraîne-t-elle à devenir minoritaire en septembre prochain… Quoi qu’il en soit, tout cela est bien regrettable !