Nul doute que la modernisation de La Poste telle que vous la concevez n’est rien d’autre qu’une perversion du service public !
Ce texte, qui fait fi de l’intérêt général, aboutit en dernière analyse à faire de La Poste une monnaie d’échange pour justifier la politique industrielle et économique désastreuse qui est en place depuis 2002 et qui s’est singulièrement accélérée depuis 2007.
Nous refusons ces sombres perspectives et vous invitons, mes chers collègues, à rejeter cet amendement.