Je serai bref, car M. Barraux a déjà dit beaucoup de choses intéressantes.
Il ne faut pas laisser penser que les dispensaires vétérinaires ou les centres de la SPA qui dispensent des soins dégagent des bénéfices. On sait que ces organismes fonctionnent tant bien que mal. Je ne comprends donc pas l'émotion des vétérinaires face à l'article 12.
Apparemment, il n'y a pas eu de concertation sur cette question. Je le regrette. S'il y en avait eu, nous n'en serions pas là ce soir.
Pour ma part, je souhaite le maintien de cet article. Tel est le sens de l'amendement n° 54.