Madame David, je vous renvoie aux conclusions de l'étude qui a été menée sur la situation des jeunes dans les quartiers difficiles : la priorité, c'est l'éducation et la formation ; c'est ce qui leur permettra non seulement de s'insérer dans la vie professionnelle, mais aussi, je le répète, de développer des centres d'intérêt propices à leur épanouissement.
Voilà pourquoi, à force de nier la réalité comme vous le faites, la classe ouvrière et les personnes modestes vous ont quittés depuis fort longtemps et nous ont rejoints !