A priori, ce n’est pas une mauvaise chose, mais à une condition toutefois, et elle est capitale : qu’ils puissent bénéficier du soutien et de l’expérience d’un véritable tuteur. Or c’est là que le bât blesse !
La situation telle qu’on peut l’appréhender après trois mois offre un paysage pour le moins contrasté.