Nous ne sommes pas favorables à une réforme qui se dissocie de celle du régime général et des autres régimes.
Nous voulons une réforme globale, qui gomme les inégalités de la loi de 2003 et ses incohérences : aujourd'hui, un million de retraités vivent en dessous du seuil de pauvreté.
Nous voulons une réforme qui s'insère dans le cadre du modèle social et non de la fracture sociale, une réforme qui intègre le critère de pénibilité, une réforme qui prépare l'avenir et qui donne espoir aux générations futures.
Enfin et surtout, nous voulons une réforme qui préserve le système par répartition.