… et pas les moindres : la commission des finances et la commission des affaires sociales. Il fait donc partie de la majorité.
Dans cette configuration, la notion de groupe minoritaire n’a plus de sens puisque, pour obtenir le soutien du groupe le plus important de la majorité, groupe également minoritaire arithmétiquement d’ailleurs, il a fallu faire acte d’allégeance.
Nous avons dénoncé à plusieurs reprises l’absurdité de ce concept et la confusion qu’il suscite dans le débat politique. De plus, il consacre de facto, nous semble-t-il, le bipartisme.
Pour nous, tout groupe politique est égal. Les distingue leur option politique fondamentale : être dans la majorité ou dans l’opposition. Les mêmes droits doivent être accordés à tous, et de nouveaux droits doivent être accordés à l’opposition. Le reste n’est que « petit arrangement entre amis » !