Je ne peux pas accepter une mise en cause personnelle ! Je respecte tout le monde ici et je demande à être respecté de la même façon.
Sans doute n’ai-je aucune expérience en tant que président de commission… Cela fait si peu de temps que je préside la commission des affaires sociales ! Celle-ci n’a d’ailleurs pas grand-chose à faire, si l’on omet de préciser que c’est sans doute celle qui est saisie chaque année du plus grand nombre de textes.
En offrant la possibilité de moduler les méthodes de travail en fonction des circonstances, je ne mets personne en difficulté.
En tout cas, monsieur le président de la commission des lois, j’aimerais que vos propos soient empreints d’une certaine cordialité !