Madame Bricq, ne soyez pas ironique ! J’ai eu le privilège d’assister, auprès de Benoist Apparu, à un certain nombre de réunions de travail et de constater que ce dispositif a été affiné patiemment, au fil des mois, qu’il a été paramétré le plus correctement et le plus honnêtement possible.
Sans avoir de conviction absolue sur le sujet, je fais confiance au travail qui a été fait et qui me paraît exemplaire en comparaison de ce que nous avons connu pour d’autres réformes. Il y a eu une volonté d’écouter, d’associer les parlementaires et nous devons, me semble-t-il, maintenant jouer le jeu.
Monsieur Vanlerenberghe, après avoir pris connaissance de la position du Gouvernement, je vous demande de bien vouloir retirer votre amendement.