Nous maintenons notre amendement, sur lequel le groupe socialiste demande un scrutin public.
Monsieur le ministre, vous ne connaissez peut-être pas aussi bien que nous ces populations modestes, voire pauvres. Il s’agit d’ouvriers, qui sont inquiets actuellement. Le fait que vous ne daigniez pas répondre à nos interpellations par un minimum d’explications, que vous vous contentiez d’un avis défavorable, sans même vous lever, traduit une sorte de mépris à l’égard de ces gens. Croyez bien que je leur en ferai part !