Il ne s’agit pas forcément de professionnels, monsieur le rapporteur général. Il y a parfois des clubs amateurs qui donnent de l’argent à une personne pour l’entraînement de leurs joueurs. C’est une pratique habituelle, par exemple en Île-de-France. Il est normal que les professionnels soient rémunérés, qu’ils aient un salaire. Mais ce n’est pas le cas des personnes qui reçoivent de l’argent liquide pour encadrer de jeunes footballeurs. De telles pratiques sont-elles bien admissibles ?
Je maintiens l’amendement.