Je vous remercie, monsieur le secrétaire d’État de vos explications. Notre collègue député de l’Ariège, Frédérique Massat, vous avait déjà interrogé sur ce sujet, et j’espérais qu’entre-temps il y aurait eu une prise de conscience.
Or le problème reste entier. Certes, vous nous faites part d’un certain nombre d’éléments dont chacun peut apprécier la pertinence, mais je peux vous assurer que, dans les nombreux départements comme le nôtre, la réalité sur le terrain est tout autre.
Aujourd’hui, une très grande inquiétude se manifeste sur cette question, comme sur la désertification médicale dans notre pays.
L’État se désengage sur une mission essentielle. Les parlementaires de l’opposition que nous sommes ne sont pas les seuls à faire ce constat. Il m’est arrivé d’entendre certains de mes collègues de la majorité d’aujourd’hui…