Comme chacun de vous, cette nouvelle m'attriste profondément, car nous connaissions toutes et tous les qualités de coeur et le courage de ce sénateur toujours très présent dans l'hémicycle, comme à la commission des affaires économiques où il avait récemment été le rapporteur de la proposition de loi relative aux jardins familiaux et aux jardins d'insertion.
Chacun se souvient de son franc-parler et de la solidité de son bon sens, dont il tirait la force dans ses racines rurales, qu'il aimait souvent à rappeler.
Mes premiers mots seront pour présenter à sa famille et à ses proches, au nom du Sénat et en mon nom personnel, nos plus sincères condoléances.
Le moment venu, je prononcerai dans cet hémicycle, conformément à la tradition, l'éloge funèbre de notre très regretté collègue. Je m'efforcerai d'assister, pour vous représenter, à ses obsèques.