Mon cher collègue, la libre administration des collectivités locales est inscrite dans la Constitution et – passez-moi l’expression – ce principe vaut pour les joies comme pour les peines !
J’en viens à ma remarque de fond, qui est la plus importante.
À mon avis, l’adoption d’un tel amendement ouvrirait la porte à d’innombrables dérogations et porterait atteinte au respect du choix et des décisions des élus locaux. Elle constituerait donc, à mon sens, un déni de démocratie.