Ma préoccupation est la même, madame la présidente, et je rejoins le propos de Mme Beaufils.
Nous travaillons ici d'une façon peu orthodoxe, il faut le dire. M. le ministre demande, en tout cas à sa majorité, qu'on lui fasse confiance et qu'on adopte les amendements de M. Leclerc - amendements rédigés par d'autres, je suppose, M. Leclerc ayant tenu la plume. Quant à la commission, elle dépose un sous-amendement.
Je rejoins un peu les interrogations, peut-être feutrées, de M. le président de la commission des finances et de M. le rapporteur général, selon lesquelles les conditions de travail qui sont les nôtres aujourd'hui ne sont pas véritablement les meilleures.
Vous nous demandez de vous faire confiance, monsieur le ministre, mais dans les conditions où nous travaillons, c'est quelquefois un peu difficile !