On compte environ 3 000 mannequins dans notre pays. S’agissant de l’anorexie, j’ai été à l’origine, lors de mon premier passage au ministère de la santé, de la création d’un groupe de travail sur la représentation du corps, notamment dans les médias et le monde de la mode.
Grâce au renvoi à des dispositions conventionnelles, il sera demain possible de mettre en place un service de santé au travail dédié, comme il en existe aujourd'hui pour les artistes et les intermittents. La situation que vous pointez du doigt est une réalité : est-ce parce qu’un tel service n’existe pas encore ? Je ne suis pas persuadé que ce soit la seule raison, mais ce texte permettra de répondre à votre souhait.