Mépris pour ceux qui occupent des emplois pénibles et voient leur situation balayée d’un revers de main ! Leur sort serait réglé par des examens médicaux au cas par cas !
Mépris pour les femmes ! À de nombreuses reprises, nous vous avons alerté sur le fait qu’elles risquaient d’être de nouveau pénalisées !
Mépris, enfin, pour les engagements tacites pris par le Parlement d’alimenter le Fonds de réserve pour les retraites et de ne pas y toucher jusqu’en 2020 !
Monsieur le ministre, je crois deviner que vous allez me rétorquer que vous avez répondu hier favorablement à l’une des demandes pressantes que je vous avais adressées, au nom du groupe socialiste, concernant les mères de famille de trois enfants totalisant quinze ans d’ancienneté. Même si vous avez mis trop de temps à reconnaître que vous aviez fait une « bourde »