L'amendement n° II-235 rectifié est retiré.
Monsieur le ministre, permettez-moi un commentaire un peu tardif : quand les incendies ont dévasté la végétation, comme cela se produit régulièrement dans le sud de la France, et que les premières pluies entraînent la formation de véritables torrents de boue qui dévalent les terrains, les particuliers se tournent vers les élus locaux, qu’ils rendent toujours responsables et à qui ils demandent d’assumer le préjudice subi.