Jean Arthuis a rappelé le contexte économique et financier international dans lequel notre réflexion s’inscrit, et l’importance que revêtent, dans un monde si hasardeux, les notions de confiance et de crédibilité.
Par rapport à cela, il ne faut assurément pas prendre une Constitution pour ce qu’elle n’est pas, et ne peut pas être.
Ce n’est pas la Constitution qui peut se substituer à la volonté politique.
Ce n’est pas la Constitution qui peut comporter la définition technique d’une règle d’équilibre des finances publiques.
Ce n’est pas la Constitution qui peut nous éviter toutes nos petites et nos grandes faiblesses.