La mention de l’expression « de bonne foi », dans le premier alinéa de cet article, est nécessaire : la supprimer reviendrait à ce que soient protégées des personnes qui auraient délibérément menti pour faire accuser une autre personne de discrimination.
Or, dans de tels cas, des sanctions seraient tout à fait justifiées.
La commission est donc défavorable à cet amendement.