Monsieur le président, messieurs les ministres, mes chers collègues, nous sommes parvenus au terme de l'examen du projet de loi de finances pour 2006, le premier qui ait été conçu, mis en forme et discuté selon les règles de la LOLF. Chacun d'entre nous s'y était préparé avec soin, au niveau tant de l'exécutif que du Parlement.
Nous avons en outre bénéficié des conseils et de l'aide précieuse d'Alain Lambert, l'un des deux pères fondateurs de notre nouvelle constitution financière : qu'il en soit remercié.