Monsieur le ministre, la crise est passée par là. Plus rien ne sera désormais comme avant et même l’Union européenne devra procéder à une révision de ses conventions et de ses pratiques. Au fond, si on vous écoute bien, il suffirait qu’un pays voisin de l’Union reconnu comme non coopératif devienne membre de l’Union pour qu’il cesse d’être non coopératif !
Or nous savons très bien aujourd’hui que nous rencontrons de vraies difficultés avec plusieurs États membres de l’Union européenne, dont les responsables exercent parfois des fonctions éminentes au sein de l’Union…