Monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, j'ai le profond regret de vous faire part du décès de notre collègue et ami Serge Vinçon, qui nous a quittés dans la nuit de samedi à dimanche.
Sur toutes les travées de cet hémicycle, nous portions une très grande estime à cet excellent collègue, qui a été vice-président du Sénat avant de présider la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées.
C'était un homme de coeur, qui nous manquera beaucoup.
M. le président du Sénat prononcera ultérieurement l'éloge funèbre de Serge Vinçon.
Dans l'immédiat, et conformément au souhait de notre président, je vous propose d'observer un moment de recueillement.