À l’heure où nous nous apprêtons à voter une loi de programmation qui va engager les finances de l’État pour les trois prochaines années, je suis au regret de constater que, pendant toute la durée du débat, la majorité sénatoriale n’a jamais été majoritaire dans l’hémicycle. Il est regrettable que, sur un sujet aussi important, la majorité ne se soit pas mobilisée. Je souhaiterais qu’une telle situation ne se reproduise pas, car elle est de nature à alimenter l’antiparlementarisme.
Naturellement, notre groupe politique, comme l’a indiqué tout à l’heure Nicole Bricq, votera contre ce texte.