... ne respecte pas lui-même un principe de séparation essentiel pour la préservation de sa jeunesse, qui risque ainsi d'être contaminée définitivement.
Monsieur le ministre, c'est un cri du coeur que j'élève : nous ne pouvons pas laisser faire. Soyez assuré de trouver, sur toutes les travées de cette assemblée, le soutien dont vous aurez besoin pour obtenir les moyens qui vous sont nécessaires et faire cesser un état de fait qui n'a que trop duré. Certes, la situation n'est pas le résultat de votre action, et la faute ne saurait vous en être imputée : seulement, elle dure depuis plus de cinquante ans, et c'est intolérable !