Je suis en effet président de la Caisse, et j’ai déposé un amendement sur ce point. Puisqu’il est abordé, je réponds, monsieur le président.
Mission nous a été confiée conjointement à Mme Christiane Kammermann et à moi-même, car nous siégeons au conseil d’administration de la Caisse, que je préside.
Jusqu’à maintenant, l’État assurait la totalité du financement de cette troisième catégorie aidée. Lors d’un conseil d’administration extraordinaire, il nous a été demandé de participer. Nous avons donc voté sur un cofinancement.
En tant que président de la Caisse des Français de l’étranger, je suis obligé de traduire ce qui a été dit par le conseil d’administration et ne peux pas manquer à ma mission.
Je confirme donc ici le souhait qui a été exprimé par la Caisse.