Un jour, vous ne serez plus ministre… Bien sûr, je ne vous le souhaite pas, mais il en est ainsi.
Pour notre part, nous avons le souci d’assurer le financement de l’AEFE à long terme. Or il y a tout de même quelque chose de paradoxal dans ce débat : le Gouvernement supprime partout les dépenses les plus vitales, et là, il nous propose d’ajouter gaillardement de 10 millions à 15 millions d’euros par an. J’avoue que je ne comprends pas la cohérence de l’action budgétaire.
Par conséquent, nous ne suivrons pas la proposition de Mme la ministre d’État, et nous soutiendrons l’amendement n° II-79 rectifié.