Au moment où la France s’apprête à prendre la présidence du G8 et du G20, au service de la gouvernance mondiale, ce serait un très mauvais signal que de diminuer les crédits destinés à la préparation de ces sommets, crédits dont M. le rapporteur spécial vient de préciser à juste titre qu’ils avaient été calculés au plus juste.
En conséquence, l'avis est défavorable.