Il s’agit de rétablir le financement par l'État d'une partie du coût de la troisième catégorie aidée des adhérents à la Caisse des Français de l'étranger.
Le projet de loi de finances initial prévoit de réduire de 2, 5 millions à 500 000 euros la subvention de l'État.
Nous continuons à penser qu’il s’agit d’une responsabilité de solidarité collective, et nous demandons que les 2 millions d’euros qui manquent soient rétablis.