C’est bien là-dessus que nous ne sommes pas d’accord, monsieur Blanc !
Monsieur le secrétaire d’État, pourquoi ne pas marquer une pause et procéder de façon logique ? Comme l’a expliqué Nicole Bricq, pour éviter de placer la charrue avant les bœufs, il convient, d’abord, de modifier le code minier, qui deviendra ainsi le référent déterminant en matière d’autorisations passées ou à venir.
Mais vous vous obstinez, au mépris de ce qu’a déclaré M. Fillon, qui a été très clair à ce sujet, à essayer, obstacle après obstacle, de rendre lisible quelque chose qui devient de plus en plus incohérent.
Il est temps, je le répète, de marquer une pause, car il n’y a pas d’urgence absolue. Nous pourrons ensuite reprendre les débats dans des conditions plus propices.