Cela changerait bien évidemment les choses pour l’avenir, mais ne changerait rien pour le passé.
Je regrette de devoir vous expliquer les choses ainsi, mais les principes du droit s’appliquent, y compris au code minier, y compris aux permis en cause !
C’est la raison pour laquelle nous avons imaginé, dans cet article 2, un dispositif qui sera plus efficace. Ce que vous proposez ne réglerait en rien le problème : il s’agit, là encore, d’un argumentaire purement politique.