Je crois que l’on ne peut pas accepter des propos comme ceux que nous venons d’entendre.
Mes chers collègues, nous ne défendons ici aucun lobby, aucune entreprise : nous avons la prétention de défendre l’intérêt général et, en l’espèce, de corriger sans attendre une situation malheureuse, car il est vrai qu’une erreur a été commise.
Vous nous dites : pourquoi ne pas attendre la réforme du code minier ? Mais une telle réforme prend forcément du temps ! Certes, on parle de cette réforme depuis longtemps…