Vous aurez compris dans quel esprit je suis intervenu.
J'espère que rien dans mes propos ne vous aura laissé croire que je suis contre la pratique sportive, le sport de haut niveau, l'entraînement et l'émulation que le sport professionnel suscite dans le milieu du sport amateur, auquel nous sommes tous attachés. Dans ce domaine, nous ne prétendons pas donner de leçons.
Permettez-moi, monsieur le ministre, un propos plus personnel. Je fais partie de ceux que cette masse d'argent choque. Je n'aime pas que l'on puisse donner le sentiment qu'il existe dans la vie un raccourci qui dispenserait d'autres formes d'efforts.