Christian Estrosi, ministre chargé de l'industrie :
Mesdames, messieurs les sénateurs, enfin, nous abordons sérieusement le fond du débat !
Je comprends vos craintes, et je veux croire qu’elles sont émises avec conviction. Je tenterai de me convaincre moi-même qu’il s’agit de craintes de conviction.