Cet amendement est incontestablement utile dans le cadre de la lutte contre la pédopornographie.
Cependant, il n'a pas réellement de rapport direct avec l'objet du texte, d'autant que les crimes visés désormais dans le cadre de la rétention de sûreté ne sont plus exclusivement les crimes commis à l'encontre des mineurs de quinze ans, vu les amendements qui ont été adoptés par l'Assemblée nationale.
C'est la raison pour laquelle la commission des lois s'en remet à l'avis du Gouvernement.