Nous avions envisagé – je parle sous le contrôle du président de la commission des finances –de transiger autour de 10 millions d’euros pour « amorcer la pompe ». Nous pourrions donc rectifier l’amendement n° II-5 dans ce sens. Cela signifie que la deuxième partie de l’exercice que vient d’annoncer M. le secrétaire d’État pourrait se prolonger. Mais je laisse le soin à M. Arthuis d’apprécier l’attitude à tenir au nom de la commission des finances dans cette affaire. En tout cas, n’étant pas jusqu’au-boutistes, nous avions une solution de repli à 10 millions d’euros.