Allons, monsieur le rapporteur général !
Non, il serait vraiment plus sage, monsieur Cornu, que vous acceptiez de retirer votre amendement, afin que la réunion de la commission mixte paritaire soit la plus apaisée possible…
Monsieur le président de la commission, vous savez que la commission mixte paritaire sera très difficile : eu égard à ce qui s’est passé à l’Assemblée nationale et au Sénat, le Gouvernement devra prendre des décisions, et il fera face à ses responsabilités. En l’espèce, je vous demande de bien vouloir l’aider.