Je connais le travail que M. Christian Cambon fait dans ce domaine. Sa compétence est reconnue, tout comme est reconnu son engagement dans l’aide au développement.
Personnellement, je suis très sensible à l’argument de la bonne foi et de la transparence, mais le document de politique transversale n’a pas vocation à reprendre l’ensemble de ces éléments - là est le problème ! Il est logiquement centré sur la loi de finances et les moyens financiers mobilisés par l’État.