Monsieur le président, je serai bref, car tout a été dit.
L’article 11 nous semble être la porte ouverte à une nouvelle vague de privatisation des activités liées à la sécurité des aérodromes qui, en plus d’être opérée en catimini, finit de dépecer ce qui reste de services compétents dans le domaine des secteurs d’intervention qui permettent de développer de réelles compétences d’expertise.
C’est la raison pour laquelle, une fois encore, nous nous opposons à l’adoption d’une telle réforme.