Comme vient de le dire M. le ministre, il est près de trois heures du matin, et, je le reconnais, cette proposition mériterait un débat plus approfondi.
J'ai pris bonne note de son engagement. Je souhaiterais donc que M. Bas, M. de Robien et moi-même puissions nous rencontrer afin de trouver une solution.
Mon intention n'était pas que les collectivités locales puissent bénéficier à tout prix des mêmes possibilités que l'éducation nationale. J'étais juste animé d'un souci d'équité. Je ne voyais en effet pas pourquoi on ne pouvait pas faire pour la fonction publique territoriale ce que l'on faisait pour la fonction publique d'État.
Quoi qu'il en soit, monsieur le président, je retire mon amendement.